Tu joues les soleils qui éclairent les lunes endormies, film maker de fantasmes montés.
Ton réality smile est de morceaux volés, placés selon ta volonté, starification assurée.
J’balance sous tes doigts que tes volontés soient fêtes, marionnette pour des sornettes !
Mais le marionnettiste est trop petit, Lafontaine aurait bien ri du renard, signore.
C’est à la salle que tu es à merci.
Et celle-ci, pauvre abruti est sans doute de celle que tu honni, celle qui vole l’envie, l’envie de s’envoler.
Je suis ton pigeon aux ailes brisées pour te rassurer d’avoir de quoi gaver ton parterre. Tu ouvres mes entrailles en place publique, tu réjouis du sang et de la chique.
De vos os frappés sur nos peaux s’élancent les ondes, les eaux des ondes lancent le son.
Aoum tchatchatcha.
Il me semble que la chasse aux sorcières est relancée, que la différence n’est plus tolérée parce que bienfaisante formatée.
Que des troupes de passions aux affûts fusent de refoulement de souffre, Fog au dessus du volcan.
Le volcan de la peur de ne pas être aux normes,
La pression de l’ampleur de la peur, la tension de la passion des cœurs ; l’allumette est dans tes mains marionnettiste, starificateur d’univers,
Ne me demande pas de battre encore des ailes, mais dieu m’a muni de sa compréhension, tu me les as coupés.