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yoyoSpire

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La résolution d'une gestion des très grands nombres est une des clés d'un futur vers l'Espace pour l'humain. Nombres premiers obligent... Toutefois, si un rêve se construit au jour de nos vies, nos vies ne sont pas plus des décharges publiques que notre belle planète bleue. Et les bleues des coups qu'elle reçoit, moi, j'en peux plus ! Aussi j'agrémente le rêve d'un ciel plus haut, de quelques véhementes objections


Problème de physique quantique ou problème de sémantique ?

Publié par yoyospire sur 2 Décembre 2012, 14:04pm

Catégories : #Science, #Quantique, #Linguistique, #Physique, #Math

Problème de physique quantique ou problème de sémantique ?

La décohérence

 

Jusqu'à aujourd'hui, il y a les physiciens qui suivent scrupuleusement Einstein et Schrödinger sur les réalités de la physique quantique, parce que ces réalités ont fait leurs preuves. La fonction d'onde est une réalité fondamentale de la physique quantique.

Ce qui n'est pas le cas de la réduction de la fonction d'onde.

Cette prétendue réduction pose non seulement une incomprenhension dans la cohérence connue des états quantiques de la matière, et donc un état dubitatif de la part de nombreux physiciens, mais elle prétend en plus, qu'il yaura it une erreur dans l'équation de Schrödinger sans pour autant pouvoir apporter une quelconque résolution à cette anicroche qu'elle provoque, mais surtout à sa propre proposition. Il s'ensuit malheureusement un abandon des études sur les équations ( ontologie des équations ) alors que ce domaine doit rester ouvert à la conscience humaine; parce qu'aujourd'hui l'étude de l'intérêt au bénéfice de la vie de l'utilisation de tel ou tel outil ( style couteau de cuisine ou épée, fusil de chasse ou mitrailleuse ) reste un questionnement permanent et renouvelable. Les équations sont aujourd'hui nos outils. Seules ou accompagnées, c'est leurs compositions qui font leur portée.

Cette prétendue réduction pose une autre mésentente sur la conscience et la pratique des sciences, dont le fondement principal est l'objectivité, cette mésentente est : doit-on forcer les équations à répondre à notre seul petit entendement humain ?

Sachant que les mathématiques peuvent tout écrire mais que nous ne sommes capables d'écrire grâce à eux que ce que nous cherchons...

C'est l'épistémologie qui devrait se charger de tout cela, toutefois, je voudrais apporter ma petite contribution à tous ces physiciens qui savent que cette réduction est très loin d'être pertinente et ne parviennent pourtant pas à le démontrer.

 

Pour cela, je vous propose d'entrer dans un nouvel ensemble de définition : la sémantique.

NB: la sémantique appartient à la linguistique, la linguistique étant l'étude mathématique du langage.

 

Alors voilà: 

A

L'invention du postulat de la réduction vient de l'interprétation de Copenhague, qui repose sur une étude qui applique dirctement les mathématiques probabilistes sur les jeux de hasard au phénomène de décohérence en physique quantique.

Première objection : ils s'acharnent à ramener les états quantiques à du pile ou face.

Pile et face sont deux vocables (ou mots si vous préférez ) qui ne sont pas désignant de la matière physique au sens descriptif de la matière par la science physique. Comprenez bien qu'il s'agit d'un vocable arbitraire sur lequel on s'entend pour différencier des surfaces. Pour s'entendre on se refile le code lecture: pile pour la surface écrivant la somme de la pièce, face pour la figure déssinée. Pile pour la valeur de la carte, face pour son verso. Il est bien évident que sans yeux humains connaissant de surcroit le code lecture il n'existe aucune réalité physique à pile ou face; plus précisément, la carte est bel et bien constituée de la même matiére atomique quelquesoit sa face. A noter qu'en plus il n'existe en physique quantique aucune épaisseur pouvant contribuer à apprécier même le mot surface d'un objet. Ce qui est tout aussi vrai en physique de la relativité où je vous le rappelle les dimensions ont cette particularité de ne pas avoir non plus d'épaisseur !!!

Deuxième objection : Ils s'acharnent à ramener les états quantiques à du gauche ou droite.

C'est beaucoup plus vicieux. Bien évidement gauche et droite ne sont pas d'autres vocables que pile ou face, c'est à dire, totalement vide de sens contribuant à définir de la matière physique dans notre monde newtonien. Pourtant, leur utilisation fait croire à la définition d'un espace différent entre la gauche et la droite (où gauche et droite formerait l'espace entier de l'étude). Le problème commence, en fait, à cette même situation d'épaisseur, pour envisager de poser une carte sur sa tranche, encore faudrait t-il qu'elle posséde une quelconque épaisseur. La matière atomique ne se différencie pas plus entre une surface rouge et une surface bleue qu'entre quatre surface dites "tranche" !!

Je vous rappelle par ailleurs, que la carte tenant sur sa tranche n'existe pas non plus dans notre dimension newton.

Second vice avec l'utilisation de la gauche et de la droite: l'espace virtuellement défini par un état à gauche et un état à droite correspond en fait à un espace que deux cartes occuperaient, et non pas une seule. De plus, et la physique de la relativité nous l'a pourtant appris, il faut pour observer un objet savoir déterminer le cadre spacial de cette objet et le point d'observation duquel on observe l'objet; sans quoi, vous le savez bien, rien n'est calculable !!

Y a t-il donc une ou deux cartes ? Celles-ci se déplacent-elles pour aller prendre place sur une part à droite et laisser celle de gauche vacante ? et si l'on s place de l'autre coté, la gauche devient-elle la droite ?

 

Ces soit disantes expériences sur la réalité quantique ne sont en fait que des mathématiques dont l'erreur fondamentale est de ne qualifier dans leur étude aucun objet physique.

 

PHYSICIENS, NE VOUS LAISSEZ PAS ABUSER PAR DE LA RHETHORIQUE. 

"Il n'est pas encore tranché de savoir si la décohérence est une approximation du postulat de réduction du paquet d'onde, ou si c'est au contraire le postulat qui approxime la réalité de la décohérence. Malgré tout, nombreux sont les physiciens penchant vers la deuxième hypothèse." citation prise sur Wikipédia sur La décohérence quantique, § décohérence et réduction du paquet d'onde.

Pensez bien que je soutiens ceux qui affirment que la réduction n'est qu'un postulat qui approximatise la réalité de la décohérence.

 

B

La seconde proposition prétendant valider le postulat de la réduction vient de l'ulisation de la Matrice Densité

Première objection : Il est terrible de pouvoir vous affirmer que les vocables mort et vivant ne sont qu'à peine plus déterminant d'un ensemble de physique réelle. Certes le chat lui-même est bel et bien un objet physique concret. Mais c'est le seul ! Absolument rien en physique de la matière ne détermine une différenciation d'objet entre mort et vivant. Au bout de quinze jours d'état constaté de mort du chat, la chimie ou la biologie pourrait nous aider... Mais devrait-on encore parler d'un chat ?

A noter que le chat de Schrödinger est drôlement maltraité par ceux qui s'y réfère pour en tirer quelques appréciation. On nous le sert debout pour dire vivant, allongé pour dire mort. C'est presque du subliminal !

Je m'explique: on sait que nous n'avons pas de moyens pour représenter dans la physique quantique les objets que nous observons avec nos yeux dans notre physique newtonienne. Or on nous propose pourtant une imagerie de ce chat pour mieux nous expliquer... Un chat debout donc pour dire vivant, et allongé pour dire mort. C'est de l'imagerie bisounours qui est tout à fait injuste avec ce qu'explique Schrödinger sur les états de son chat. Schrödinger propose un dispositif qui tue un chat si et seulement si un atome instable se désintègre. L'atome radioactif se trouve lui, puisqu'il est radioactif, dans un état à la fois désintégré et non désintégré. Le chat est donc dans un potentiel à la fois vivant et mort par désintégration. 1° Un chat mort par désintégration radioactive est un chat explosé sur les quatres surfaces de la boîte, et cela est plus gore que bisounours. Cela étant, cette forme de la matière de l'objet mort n'a instantanément plus rien à voir avec un chat ! Il faut se rappeller, pour comprendre qu'il se retrouve explosé sur les parois, que tous gaz tend à occuper tous l'espace disponible, or un état désintégré est un état d'agitation atomique proche de l'agitation d'un gaz.

Peut-être finalement le principe d'entropie de la thermodynamique pourrait-il le plus aider la physique quantique et son soucis de décohérence.

2°Si l'atome radioactif touchant le chat ne provoque pas une réaction en chaîne jusqu' à repeindre les murs, je dirais qu'alors le mot le plus approprié pour ce chat serait mutant, propice à toutes maladies possibles à plus ou moins longues échéances, bref un mort en survie, ou bien, un vivant en instance.... Bref, ce n'est plus qu'une question de temps qui finalement règne sur la définition de ce pauvre chat pour nous. Et la Relativité d' Einstein n'est décidément pas incohérente avec la physique quantique ni même avec celle de Newton.

A l'époque ou Schrödinger tente d'expliquer le quantique avec cette superbe comparaison, Einstein lui vient en aide avec une autre comparaison, celui du baril de poudre sur lequel l'on serait tranquilement installé en attendant de se décider à savoir si on allume la mèche que l'on tient dans la main ou pas.

Par la suite, Einstein prend la décision d'interdire toute comparaison en science et rédige lui-même sa théorie pour éviter tout écueil à l'intelligibilité d'une observation scientifique.

Je soutient évidement les physiciens qui disent qu'il n'y a pas de paradoxe au chat de Schrödinger.

Seconde objection : pourquoi la matrice densité exclue t-elle deux états légaux et possibles selon les régles quantiques: la matrice densité ou opérateur densité sont des statistiques, or l'ensemble défini pour étudier statistiquement les états est lui-même constitué par ses différents états. Ce qui détermine les limites de cet ensemble sont les deux états extrèmes de tous les états possibles. Or ce sont ceux-là que la matrice exclue du champs, rien de plus normal !!! A ce titre, puisqu'il s'agit d'une erreur fondamental en mathématique, Gödel, qui l'a mis à jour en logique, et Riemann qui a eu le génie de la fonction zêta, se retourneraient dans leur tombe.

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