Ô ma mie, ma douce,
comme la lune illumine ton teint de mousse
en vert et contre tous.
Mes joues s'empourprent,
tes jours blémissent;
mes rages font les orages sur ta peau lisse et touchent,
tes veines de bleu dévissent.
Déveine, ton corps plie sous les coups.
Mes poches gonflées d'or
sous tes yeux, j'endors le monde,
avec des paroles d'orange.
Mon viol est par trop laid,
mais personne me court après !